Série Insolite. Épisode 7 : « Valérie » La Croisière S’Amuse.

Je m’appelle Valérie, je suis actuellement une veuve de 56 ans et je vais partager avec vous, sous la plume de l’auteur Cyp Perruche, ce que j’ai vécu il y a quelques temps. Je suis née en 1964, je me suis mariée à 21 ans avec Jean-Philippe avec lequel j’ai eu deux s. En 2015, suite à des examens poussés, les médecins découvrirent que mon mari avait une maladie rare et qu’il était condamné. Confrontée à cette maladie j’étais aux petits soins pour lui, il ne quittait son lit que pour son fauteuil. Le docteur lui rendait visite toutes les semaines, une infirmière et des aides-soignantes venaient tous les jours pour ses soins et sa toilette.

Ce fut à cette époque que je fis la connaissance de l’infirmière à domicile. Sandrine était de son âge, étant une femme battue, elle avait divorcée depuis deux ans et avait des difficultés à se remettre avec un homme. J’étais devenue sa confidente et en quelques semaines, nous étions devenues de très bonnes amies. Elle venait certains soirs manger avec moi, cela nous faisait du bien, nous n’étions plus seules. Lors une discussion, Sandrine m’avoua qu’elle était en manque de sexe, j’étais exactement dans le même cas, j’adorais faire l’amour à Jean-Philippe que je n’avais jamais trompé et depuis qu’il était malade, j’étais dans une abstinence totale.

Nous n’avions jamais testé l’amour lesbien, pourtant de fil en aiguille, nous nous étions données du plaisir, je n’avais pas l’impression d’être infidèle, car nous ne nous aimions pas d’amour, nous nous faisions du bien. Avec Sandrine nous ne nous considérions pas comme lesbiennes, néanmoins nous renouvelions l’expérience lorsque le besoin s’en faisait sentir. Nous jouissions tout de même toutes les deux, sous nos baisers, nos caresses et nos jouets. Pour mon plaisir solitaire, elle m’avait acheté un magnifique phallus en silicone qui vibrait, ce qui me donnait la sensation d’être vivant.

L’année suivante, lorsque Jean-Philippe décéda, Sandrine fit la connaissance de mon frère Christophe, nous étions restées ment très proches mais nous n’avions plus de relation sexuelle ensemble, d’autant plus que je n’avais pas le cœur à cela.

J’étais déplorée, j’avais des difficultés de reprendre goût à la vie. Je m’étais toujours très bien entretenue, j’étais encore une jolie femme, malgré mes 53 ans, j’appréhendais de me retrouver seule et de m’ennuyer. Heureusement j’avais de l’argent de côté et j’avais touché une très grosse assurance vie. J’étais suffisamment riche pour vivre aisément le restant de sa vie.

En 2018, sous les conseils de mon frère et de Sandrine, j’étais partie faire une croisière qui devait me faire le plus grand bien. Ma meilleure amie et Christophe qui gérait ma petite fortune, avaient tout planifié derrière mon dos, ils me réservèrent une suite avec vue sur la mer, avec accès au balcon privatif où je pouvais prendre mon petit-déjeuner : « Tu seras traitée comme une vraie princesse, tu auras ton majordome, un coach sportif, accès au spa et excursions privées. Tout était payé à l’avance, même les pourboires. » M’avait-il dit avant de rajouter : « Je te promets que tu vas passer le plus beau séjour de ta vie, je te souhaite de prendre beaucoup de plaisir. »

Arrivée au port sur le quai de la gare maritime avant d'embarquer, un officiel de la compagnie, après avoir contrôler mon passeport, oblitéra mon billet et me présenta le steward. La quarantaine, bel homme, grand blond, musclé, très élégant dans son uniforme, Markus était polonais. Après m’avoir emmené au bar pour m’offrir le verre de bienvenue, il me donna la clé et me conduit à ma suite en portant mes bagages à main, m’indiquant que le reste de mes bagages suivrait. Il m’avait fait visiter ce magnifique endroit, avant de prendre congé, refusant le billet que je lui tendais :
— Tout est compris Madame, je suis ici pour rendre votre séjour le plus agréable possible. Vous pouvez me demander tout ce que vous voulez, j’ai bien dit tout, Madame.
— Tenez Markus, j’y tiens, vous êtes très sympathique. Dis-je tout en pensant « Bel homme ! Ce qui n’est pas pour me déplaire »

Lorsque le steward avait quitté ma cabine, je m’allongeai sur le lit toute habillée, ce steward m’avait toute retournée, cela faisait longtemps que cela ne m’était pas arrivé, une puissante pulsion sexuelle m’envahit, je voulus prendre mon phallus en silicone mais je m’aperçus que la mallette de mes sextoy se trouvait dans mes bagages.
Je passai sa main sous ma robe et me caressait lorsque qu’on frappa à la porte de ma cabine. Markus désirait savoir si tout allait bien et venait m’annoncer que je ne récupérerait mes valises que le soir avant le diner. Il lut dans mon regard ma déception et avant de sortir de la cabine, il renouvela sa demande : « Si vous avez besoin de quoique ce soit, n’hésitez pas Madame » :
— Oui Markus ! Pourriez-vous m’aider à descendre la fermeture éclair de ma robe, j’aimerais me changer, svp.

Markus s’approcha de moi dans son dos, nous nous trouvions devant le grand miroir et lorsqu’il descendit le zip de quelques centimètres, il vit que je fermais les yeux, la bouche entrouverte, il comprit que je désirais bien autre chose. Sa main se posa sur sa cuisse et mes jambes s’ouvrirent, lui laissant le passage vers mon entrejambe. Les doigts du steward glissèrent lentement sur ma peau et arrivèrent à destination provoquant chez moi un frisson. La pression de sa main sur mon intimité, au-dessus de la dentelle de mon string, m’électrisa. Je me retournai et me colla à lui, ma main se fraya un chemin entre nos corps et je m’empressai de caresser le sexe de Markus qui n’était pas resté insensible :
— Vous êtes ravissante Madame. Me dit-il en me regardant dans la glace et en penchant sa tête pour m’embrasser.

Je mouillais beaucoup, j’étais comme une gamine, sous les caresses précises et délicieuses de mon partenaire. Pendant que je massais sa verge à travers le tissu léger de son uniforme, je devenais folle de désir, je sentais mon ventre se contracter, son sexe gonflait sous mes doigts. Ma main se faufila à l’intérieur de son pantalon qu’il avait prestement déboutonné et je commençai à masturber sa queue chaude et bien raide. Pendant qu’il baissait son pantalon et son slip, je fis glisser mon sous-vêtement sur mes jambes puis attira Markus entre mes cuisses grandes ouvertes. Appuyée sur le mur, je levai ma jambe droite, il plia légèrement les genoux, dégagea ma fente et enfila sa verge d’un seul coup en redressant les jambes.


N’ayant pas fait l’amour pendant un bon moment, j’étais aux anges, je me sentais presque étroite, avec ce beau pénis épais et raide du polonais qui s’enfonçait dans mon vagin. Aux bords de l’extase, j’avais envie de crier de plaisir, mais les parois des cabines n’étaient pas aussi épaisses que les cloisons d’une maison, je préférai me mordiller les lèvres. Markus me possédait dans un rythme soutenu et régulier. Cet étalon savait s’y prendre, il était doué, ma chatte se trempait un peu plus à chaque coup de rein. Je ne pouvais résister, je poussai un fort gémissement, lorsque les contractions me secouèrent pendant mon orgasme. En même temps, après avoir enlevé sa capote, les jets de sperme de Markus recouvraient mon pubis avant de s’écouler sur mes cuisses.

Après m’avoir fait la bise sur a bouche, le steward se rhabilla et sortit de la chambre en disant que le devoir l’attendait. Néanmoins il rajouta qu’il avait passé un très agréable moment en ma compagnie : « Pour cette nuit Markus, si vous voulez venir, je ne serais pas contre. »
— Je suis désolé Madame, mais je suis réservé cette nuit pour le couple de la suite 21. Voyez avec Karim, votre majordome, je suis certain qu’il vous plaira. Vous avez mon numéro, si dans la journée vous avez besoin de mes services, n’hésitez surtout pas.

Markus ne s’était pas trompé, Karim était lui aussi un playboy de 38 ans, ce tunisien était très typé, la peau très mate, les cheveux courts frisés. je fis sa connaissance lorsque celui-ci lui apporta dans ma suite, le restant de mes bagages. Comme Markus, il avait bien insisté sur le fait qu’il était à mon entière disposition, cela voulait tout dire. Christophe avait fait en sorte que ces deux hommes aient pour mission de satisfaire sexuellement sa petite sœur et étaient payé pour. Le maghrébin me fit découvrir les espaces de détente du bateau, les salles de massage et de sport, les différents salons avant de me diriger vers le restaurant.


Karim n’avait pas diner avec moi, après le repas, malgré cela, il me raccompagna à ma cabine en passant par le pont où nous restâmes quelques instants pour prendre l’air. Très vite, je tombai sous le charme de ce beau tunisien, non seulement il était bel homme mais très galant et très courtois, je me demandais si l’ambiance de la croisière n’était pas propice à faire l’amour. J’eus une envie folle de mon majordome : « J’ai un peu froid Karim » dis-je en me frottant légèrement contre lui afin qu’il lui réchauffe les épaules. Le Maghrébin, tout sourire dehors, ne se le fit pas dire deux fois, il se plaqua fermement contre mes fesses et passa ses bras autour de ma taille en posant ses mains sur ma poitrine qu’il massa fermement en me demandant : « Désirez-vous aller dans votre cabine Madame ? »
— Oui ! Karim, nous y serons plus à l’aise. Dis-je en frottant un peu plus mes fesses contre le sexe du tunisien.

Je me retournai, appuyai mon dos contre la rambarde et passai la main sur l’entrejambe de mon majordome en essayant de juger de la grosseur de son sexe, avant de poursuivre : « Dites-moi Karim, la nature vous a bien avantager. »
— Merci Madame ! J’ai été choisi pour ça. Sachez que je suis ici pour satisfaire tous vos fantasmes Madame.

J’étais encore bien plus excitée que l’après-midi, le trajet jusqu’à ma suite me sembla interminable. Une fois la porte ouverte, j’enlevai ma robe et mes sous-vêtements en quelques secondes et me pendit à son cou dans un baiser sauvage. Je m’agrippais à lui à présent, deux jambes nouées autour de sa taille, il me tenait par les fesses qu’il pétrissait avant de me déposer assise sur le lit : « Comment préférez-vous que je vous… »
— Assez discuté Karim ! Viens maintenant.
— Sucez-moi Madame avant ! Répondit-il.

La fellation faisait partie de mes activités favorites, néanmoins lorsque je vis le membre encore au repos, après que Karim ait enlevé son pantalon et son caleçon, je restai un moment à l’admirer. Il était bien plus grand et plus gros que mon jouet. Je me penchai alors vers lui et prit son gland dans ma bouche. D’une main, il maintenait ma tête et de l’autre, il me massait fermement la poitrine. J’étais très excitée de constater qu’au fur et à mesure que je le suçais, son gourdin s’allongeait et durcissait. Il était bien trop gros pour le prendre entièrement dans ma bouche, mais il appréciait la gorge profonde. Je reprenais mon souffle en faisant courir ma langue sur la toute la longueur de sa queue et lui déposait des petites bises sur le bout de son gland tout en léchant les gouttes qui y perlaient.

Les râles de Karim m’indiquaient que l’instant fatidique était arrivé, son membre s’enfonça un peu plus et sa main appuyée fortement derrière ma tête, m’empêchait de reculer : « Oh Putain ! Je viens, salope. » Grogna-t-il avant de se vider au fond de sa gorge. Ma tête maintenue pendant que son sperme s’écoulait par saccade, j’avalais avec grand plaisir au fur et à mesure avant de lui nettoyer sa queue avec ma langue. Le tunisien était ravi, il s’agenouilla devant moi et à son tour me fit un cunnilingus dont il avait le secret, j’étais bouillante et trempée bien avant de jouir. J’étais dans un rêve, je n’avais pas atteint un tel orgasme depuis bien longtemps.

Étant insatiable, j’en désirait encore plus, je lui ordonnai de me prendre, Karim se montra dominateur, presque brutal me repoussant comme une plume sur le lit et se rua entre mes jambes puis me défonça à grand coups de reins : « Ouah !» Criai-je. Tellement énorme, je n’avais pas crié de douleur mais de surprise lorsque son pieu de chair me pénétra. Chaude comme de la braise, ma chatte était bien trop humide pour que j’eus mal, son gros bâton s’enfonça très facilement dans mon vagin détrempé :
— Je vais te baiser comme une chienne, c’est bien ça que tu veux Madame. Non ?
— Oui ! Baise-moi fort.

À chaque coup de rein, Karim m’insultait et les qualificatifs de pute, de salope ou de chienne avaient le pouvoir de m’exciter un peu plus, je n’en avais pas trop l’habitude car en général c’était moi qui dominais les débats avec mon mari. J’acceptais tout et répétait même ces termes lorsqu’il me le demandait. Je jouis une nouvelle fois bruyamment, mais lui n’en avait pas terminé, il me retourna d’un geste et m’enfourna dans une position pas très académique, il défonçait ma chatte à grands coups de boutoir, comme une chienne, me baisant comme une salope jusqu’à ce que j’atteigne un nouvel orgasme, avant qu’il n’éjacule sur ses fesses.

Karim fut exceptionnel cette soirée-là, il était infatigable, nous avions baisé comme des fous, je ne me rappelais plus combien de fois j’avais pris mon pied. Le majordome était revenu plusieurs fois à la charge, je dus le sucer plusieurs fois afin qu’il reprendre de la vigueur avant de me baiser à nouveau. Je m’étais endormie qu’au petit matin et ne fut réveillée qu’à 11 heures, lorsque Markus m’apporta le petit déjeuner comme je l’avais demandé. Installée en nuisette sur le balcon, il me demanda :
— Karim a-t-il été à la hauteur de vos espérances, Madame ?
— C’est un garçon charmant, ayant de grandes compétences Markus. Et vous comment, c’est passé votre soirée suite 21 ?
— Nous avons, avec Paolo le coach sportif, rempli le rôle qui nous avait été confié. Ce fut trop court à notre goût, la vieille dame s’est fatiguée très vite.
— Karim m’a prévu une séance de sport avec Paolo, cet après-midi, comment est-il ce coach sportif ?
— Hercule Madame ! Répondit-il, en expliquant longuement qui était Paolo.
— Merci Markus !
— Avez-vous encore besoin de mes services Madame ?

Je demandai au polonais de me laver le dos sous la douche où Markus m’avait sodomisé. Il fit cela tout en douceur, ce steward savait m’apporter toute la tendresse nécessaire dont j’avais besoin. Puis Karim vint me chercher pour prendre son déjeuner à 13 heures, j’étais allée à la piscine mais tellement épuisée, j’avais préféré me recoucher avant ma séance de sport avec Paolo.

Comme avec Karim, Markus ne s’était pas trompé, du haut de ses 35 ans le coach portugais était beau comme un dieu. Ce géant de 100 kg pour un mètre quatre-vingt-quinze, avait ses bras aussi gros que mes cuisses. Avec son visage d’ange Paolo avait toutefois trois particularités : très efféminé avec sa voix de gamin il était bisexuel, sa langue était si longue qu’il était capable de se lécher le dessus de son nez, enfin n’étant pas hors norme question sexe, ses doigts étaient aussi gros que son pénis. Malgré cela, ses larges mains étaient douces et délicates.

Après une séance intensive d’une demi-heure, pendant une bonne vingtaine de minutes Paolo avait palpé et pétri chaque muscle de mon corps afin que je me détende, avant d’entreprendre un massage érotique durant plus d’un quart d’heure. Une vague de plaisir envahissait mon ventre, je mouillais et mouillais encore, ma chatte ruisselait. Paolo avait passé sa tête entre mes cuisses et léchait toute la cyprine qui inondait mon vagin. Dès qu’il me pénétra avec son immense langue chaude et humide, je posai mes mains sur son crâne et appuyai fortement, lorsque je laissai échapper toute ma jouissance qu’il but sans discuter.

Puis toujours de sa langue, il léchait mon clitoris pendant que ses deux doigts prirent possession de mes deux trous. Ils allaient et venaient en double pénétration, j’étais en émoi, en ébullition, mon état d’excitation était à son paroxysme, l’index et le majeur de Paolo glissaient à tour de rôle à l’intérieur sans aucune pudeur. J’avais l’impression que mon bouton allait exploser tellement il durcissait sous sa langue. je n’en pouvais plus, je me levai brusquement, poussai le coach portugais accroupi qui se retrouva allongé sur le dos au sol et grimpai dessus. Je m’empalai sur son sexe et le chevauchai, en gesticulant mon bassin de gauche à droite, de bas en haut en montant et descendant le long de sa verge raide et tendue jusqu’à atteindre mon orgasme.

Je me souviendrai jusqu’à mon dernier souffle de ces quinze jours de croisière passés sur cet admirable bateau. J’étais montée au septième ciel, ces trois jeunes partenaires en pleine forme, m’avaient apportée tellement de plaisir que j’avais repris goût à la vie et au sexe. La dernière nuit fut plus que magique, j’avais eu la chance de les réunir dans mon lit, j’avais même pris plaisir en sodomisant Paolo avec mon gode ceinture pendant que Karim et son énorme sexe me prenait par derrière, tout en suçant Markus.

Lors du diner avec le Capitaine du bateau, j’avais poussé le vice à me faire prendre par celui-ci et l’officier de quart, à la timonerie, entre la barre, la table à cartes et les appareils de communication. Je ne le regrettais pas, ces deux hommes d’à peine quarante ans, m’en avaient fait voir de toutes les couleurs. À partir de cette croisière, je décidai de profiter de la vie et de mettre de côté mes sentiments. Je désirais trouver des jeunes types capables de me procurer le plaisir sexuel dont j’avais besoin.

Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Valérie, vous avez envie de raconter vos histoires d’amour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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